Les fourberies de Scapin » Acte 3 » SCÈNE V
ARGANTE, SILVESTRE.ARGANTE.- Holà, Silvestre.SILVESTRE.- Rentrez dans la maison. Voilà mon maître qui m'appelle.ARGANTE.- Vous vous êtes donc accordés, coquin; vous vous êtes accordés, Scapin, vous, et mon fils, pour me fourber, et vous croyez que je l'endure?SILVESTRE.- Ma foi, Monsieur, si Scapin vous fourbe, je m'en lave les mains, et vous assure que je n'y trempe en aucune façon.ARGANTE.- Nous verrons cette affaire, pendard, nous verrons cette affaire, et je ne prétends pas* qu'on me fasse passer la plume par le bec*.
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